Christophe Willem -"Berlin"



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"Berlin" le 1er extrait du nouvel album de Christophe Willem "Caféine", sortie le 25 mai 2009 !

Christophe Willem -"Berlin"
Christophe Willem -"Berlin"


Christophe Willem a l'art de se faire désirer. Après des semaines et des semaines d'attente, le premier single issu de son deuxième disque (Caféïne), Berlin, vient enfin d'être dévoilé.

Il avait annoncé un son différent du premier disque, c'est le cas. "C'est beaucoup plus électro-pop", confie-t-il au journal Le Parisien. "Ce disque a un côté plus radical que le premier. Mais il ne faut pas sous-estimer la capacité d'adaptation du public."

Il souhaitait que cet album "raconte une histoire. Ca s'ouvre avec "un univers à la Tim Burton", ça s'enchaîne avec un "côté séduction avec Kylie Minogue", et enfin avec Berlin, le single donc, "on lâche prise, on est sur le fil. Même dans le texte, qui parle du plaisir qui est partout, où tout est permis. Je ne suis jamais allé à Berlin, mais la ville m'inspire cela. Un côté sexuel, même."

Et en parlant de sexualité, l'ancien gagnant de La Nouvelle Star évoque justement sans tabou aucun ses préférences sexuelles. Pour lui, "la question fille ou garçon ne se pose pas. On veut mettre les gens dans des cases. Peut-être que je vous donne toutes les cartes pour que vous me mettiez dans l'une alors que je suis dans celle d'à côté. Ou l'inverse."

"J'aime bien éviter la réponse obligatoire", continue-t-il. "Je pense que c'est bien de garder une part de mystère. Certains diront : C'est évident, ce mec, il est homo. D'autres répondront : C'est sa sensibilité féminine. De toute façon, je ne le dirai jamais car pour moi, cela peut changer du jour au lendemain."


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5 commentaires:

Thierry a dit…

MERCI DU +5
sur boosterblog
passe une bonne soirée
bien ton blog
a bientôt
legardien51

nanet-frog a dit…

LA MUSIQUE (Charles Baudelaire)



La musique souvent me prend comme une mer !
Vers ma pâle étoile,
Sous un plafond de brume ou dans un vaste éther,
Je mets à la voile

La poitrine en avant et les poumons gonflés
Comme de la toile,
J'escalade le dos des flots amoncelés
Que la nuit me voile ;

Je sens vibrer en moi toutes les passions
D'un vaisseau qui souffre ;
Le bon vent, la tempête et ses convulsions
Sur l'immense gouffre
Me bercent. D'autres fois, calme plat, grand miroir
De mon désespoir !

( Les Fleurs du mal )

Petit coucou en passant (et votant)

Anonyme a dit…

Merci pour l'info... Ouh là là, j'suis un peu perdue avec tout ça!
J'vais voir comment je me débrouille. Amicalement. Fabi Rouge de Garance

Anonyme a dit…

beaucoup appris

Anonyme a dit…

Il semble que vous soyez un expert dans ce domaine, vos remarques sont tres interessantes, merci.

- Daniel